Mercredi 27 mars
L'entrée du brand X Nous voici parti pour Shinjuku. C'est la tournée des magasins comme d'hab'. L'affiche à shinjuku du DVD du Last Live de X Japan Puis
nous prenons le train pour Kawasaki.
Il nous suffit juste de faire un changement à Shinagawa. Le cine citta de Kawasaki est une multitude de complexes cinéma et d’une salle de concert. Pour passer le temps nous traînons dans la tower record et nous retournons comme d’hab’ dans un starbucks coffee. Je regarde passer les gens dont un gars qui promène son labrador et qui fait le tour de l’immeuble en construction. Il a fait le tour au moins 5 fois ^^’ La nouvelle entrée du Club citta' A 16h nous retournons devant la salle il y a encore peu de monde. Un gars essaye de revendre des places, mais comme le concert est loin d’être sold out c’est peine perdu. C’est un ôjisan qui a encore besoin d’expérience ^^’’ Sur notre ticket nous sommes les 15 et 16 du groupe B. Le groupe A étant ceux qui ont acheté leur billet dans la salle même ou au fan club. Nous rentrons donc dans les derniers, mais il y a peu de monde. |
S / Kotoba jaarawasena tour / Kawasaki Club citta'
encore
1 Dr Solo Nous
mettons nos affaires dans les casiers. C'est pas qu'on risque de se faire
voler, mais bon c'est ça de moins à s'occuper. Dai est le denier à entrée en scène, mais pas le moins actif ! Il bouge dans tous les sens et donne le ton au concert : joie et bonne humeur. Je ne me souviens pas de toutes les bêtises qu’il peut bien faire sur scène mais elles sont innombrables ! Si hier j’avais mal partout à cause des coups là c’est à cause des fous rires !!! Et encore je ne comprenais pas tout à leurs blagues. A un moment Dai qui tenait difficilement en place avait rejoint Itsuki et fais semblant de jouer de la guitare comme lui. Côté
chanson ils interprètent leurs nouveaux titres tirés de
leurs deux derniers maxi (Daijin et Chikyû). Shelly
est d’ailleurs la seule ballade du concert et aussi la seule fois
où Dai reste sérieux. La chanson se termine d'un coup, la
salle et la scène se fige durant une demi minute sous une onde
de projecteurs bleu. Zekki et Reina Les
guitaristes ne se privent pas non plus pour faire les imbéciles.
Comme je l’ai déjà dit il y a deux avancées
de chaque côté de la salle. Yuna et Itsuki se mettent donc
chacun d’un côté en se faisant face. Une fois ils se
sont tiré dessus avec leurs grattes tout en faisant les singes,
du coup Dai resté au milieu faisait comprendre que c’était
lui qui faisait ça d’habitude. La
set list est variée, nous avons plusieurs anciennes chansons dont
Yûsetsu, Pin ! pon ! dash !! (aïe mon cou)
et top du top 1 + 1 = 3. Nous n’avons pas de pompon, hélas,
mais on agite les bras quand même. Quand on reprend la chorégraphie
au car de tour Dai est trop content. D’ailleurs on ne levait pas
les bras sur une partie de la chanson, il nous fit signe de le faire et
fit un grand "oui" de la tête quand on a compris ce qu’il
voulait. Nous étions totalement déchaîné sur
cette chanson ^^ JE l’ADORE !!! ENCORE ENCORE !! Dai, Yuna et Itsuki La
chanson culte c’est bien sûr Sennenchô. Tout
le monde reprend le refrain. Ce qui laisse libre cours à Dai et
aux autres pour faire n’importe quoi. Il en profite pour faire chanter
tout le monde, le batteur qui chante faux, Yuna qui change les paroles
qui fini sur une autre mélodie de chant de Noël o_0 ; Et nous
le public on essaye de continuer la chanson !!!
Sur
un solo comme les trois sont devant et que Dai se sent seul, il va chercher
une gratte à Itsuki et met un pied sur les ampli pour faire semblant
de jouer aussi lol Itsuki d’ailleurs avait rien vu car Zekki- jouait
un pied sur sa hanche ! o_0 !! Bref
c’est n’importe quoi et on rit beaucoup !! A la fin du spectacle
Dai vide sa bouteille sur sa tête (il fait encore froid dans le
live house pourtant, la clim est à fond). |
Nous
repartons à Tôkyô dans un wagon green
(1re classe) heureusement qu’il n’y a pas de contrôleurs
^^’ Pourtant ils n'arrêtaient pas de dire les numéros de wagons green et sur le sol il y a bien des numéros, mais franchement nous avions beau tendre l'oreille on a compris l'inverse... |